Choses à manger ou pas
Dans un désordre même pas étudié, parce que le travail m'empêche de raconter pour le moment des histoires cohérentes. On se concentre sur les images (ce chou était à vendre au marché de Périgueux).
Cendrier en terrasse près de l'hôtel de ville (de Paris).
Avoir chaud quand il fait froid : chai au Dishny, rue Cail. Bien mousseux, mais manque un peu d'épices chaudes (poivre noir).
Avoir chaud quand il fait froid (2) : oyako domburi au Naniwa-ya, rue Sainte-Anne.
Le
restaurant est toujours blindé, mais c'est la cuisine idéale par temps
froid. Le riz est délicatement assaisonné, le poulet tendre, l'œuf
baveux.
Vacherin architectural au Relais de Venise (oui, la vraie Entrecôte).
Le meilleur dessert de la rive gauche (devinerez-vous où il est servi ?).
Un petit tour dans les régions septentrionales. Une silhouette énigmatique s'attarde à une fenêtre du marché Saint-Pierre et on est tout de suite dans du Melville.
Non loin de là, encore à l'intérieur de la région touristique améliepoulinisée, des raclettes à Nutella, ou comment ajouter le chugnux au vice. Quelques pas et on sera sur la pente sud-est, vers Château-Rouge, hors de la zone qu'un seul film a réussi à dévaster. On s'assoit, on commande un cidre, le serveur fait répéter, puis apporte une limonade. On en respirerait presque.
Makis au Kirakutei se préparant pour la bataille navale.
Pour terminer sur une note optimiste, voici la meilleure tête de veau de Paris. Celle de Christian Constant (enfin celle d'un veau achetée par Christian Constant et cuisinée par lui, mettons donc les points sur les i) au Violon d'Ingres,.