Campagne et ville
Aujourd'hui, sur ce blog, rien ne se mange. Ce sera pour une autre fois.
Lundi,
aller-retour Paris-Forcalquier en une journée pour faire faire des
économies à la presse française. Si vous étiez à Paris ce matin-là vous
vous souvenez qu'il pleuvait. Eh bien voilà donc ce que j'ai vu des
fenêtres du TGV. J'adore ça, je ne m'en lasse pas.
Je pense vous poster quelques images de Forcalquier bientôt. Ça vous fera un peu de soleil (j'en ai d'ailleurs pris un bon coup sur la cafetière en visitant le marché. C'est beau le monde moderne, on prend un TGV le matin sous la flotte, trois heures plus tard on attrape un coup de soleil en Haute-Provence, puis avant la nuit tombée on est de nouveau à Paris.)
Alors qu'y avait-il à Paris le lendemain de mon retour ? De drôles de créatures derrière les vitraux de Saint-Sulpice.
La reconnaissez-vous ?
À quel acte se prépare cette figure vaguement inquiétante ?
N'importe ; c'était le soir des huitièmes de finale. Place Edmond-Rostand, encore trois minutes de jeu.
La victoire. Les Espagnols avaient dû manger un sanglier qui avait mangé quelque chose.