Natures mortes et scènes vives
Quelques images de ces derniers jours. Comme nous approchons de Pâques, il est naturel de commencer par des œufs.
Nature morte aux œufs et à l'échalote, retour du marché Montmartre. Ils sont gros : normal, ce sont des œufs d'oie. J'ai voulu essayer (1 euro 30 l'œuf, tout de même). Moins fin qu'un œuf de poule : on ne réitérera pas l'achat.
Cet achat faisait suite à une dégustation de champagnes Fleury (champagnes bio remarquables) au Comptoir de la Gastronomie. Le caviar Prunier (enfin du bon caviar d'Aquitaine) faisait partie de la dégustation mais il était dispensé avec infiniment moins de libéralité.
Lundi, signature au Pré Verre du livre des frères Delacourcelle. Ptipois y était.
Le chef persiste et signe.
Lors du passage à Paris de ma collaboratrice préférée, nous dépensons une précieuse énergie. Résultat, nous avons besoin de nous recharger en magnésium. Heureusement, Michel Chaudun n'est pas loin.
Mais que faisait-elle avec son index gauche, hier, à L'Ami Jean ?
Elle faisait ÇA. Au premier plan, le célèbre axoa.
Plus intimiste : raisin muscat du Chili acheté à Metz.
Mon granité carotte-persil, en l'honneur de la fête chère aux lapins
(Pâques pour ceux qui suivent). Non, sérieusement, c'est une création
pour un article.
Pour le même article, autre test de recette, pour
lequel je dois faire étuver de la rhubarbe. C'est de la rhubarbe
forcée, la première du printemps. Très délicate.
La même avec vapeur. J'aime la rhubarbe et ça se voit.
Ce soir, un Cros de la Géline, parce qu'un foodie (américain) de ma connaissance affirme que c'est le meilleur poulet de France. Je demande à voir. Résultat : très bon, sans mériter un tel éloge.
Strictement rien à voir — mais je veux les mêmes.