
Il y a trois ans, à moins que ce ne fût quatre, ma télé a rendu l'âme. Pas de sous pour la remplacer : à la maison, on s'en est donc passé et on s'en passe encore. La télé et moi, ce n'est pas précisément une addiction. C'est pourquoi, samedi dernier, quand une amie m'a emmenée dîner chez Pierre-Sang Boyer (demi-finaliste de Top Chef), je n'étais pas spécialement attirée par la dimension télévisuelle. En revanche, j'étais au courant de l'excellente réputation de ce jeune cuisinier d'origine coréenne, auvergnat d'adoption : ce sont...
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